L'eau
On aurait dit que cette eau détachait, faisait voguer des pensées qui, sur la terre ferme, auraient été stagnantes et même qu'elle donnait à leurs corps une sorte de détente physique. D'abord la pulsation de la couleur inondait le golfe de bleu ; le coeur se dilatait avec elle et le corps tout entier avait l'impression de nager (...)
In La Promenade au Phare, Virginia Woolf